Le Blog Tuasmalou
Partage d'expérience par une maman

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otites, comment les soulager

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Qu’elle soit interne, moyenne ou externe, l’otite est douloureuse, très douloureuse, voire insoutenable. Il convient de toujours prendre l’avis du médecin qui nous informera de l’état du tympan. Savoir si le tympan est perforé ou pas est primordial et c’est la raison pour laquelle même si on soupçonne une otite le(la) pharmacien-ne ne donnera rien, hormis des anti douleurs oraux, et encore! Il préférera qu’un diagnostique sûr soit posé, car une otite mal soignée peut affecter l’audition.
Vous êtes donc allés chez le pédiatre qui vous a prescrit les bons remèdes mais la douleur est toujours présente… Vous donneriez bien un anti-inflammatoire suivi d’un anti-douleur toutes les demi-heures, mais ça, IL NE FAUT ABSOLUMENT PAS LE FAIRE! MÊME PAS LA NUIT! 😉 Que faire alors en attendant l’heure de la prise “légale”?
Voici quelques trucs qu’on peut utiliser sans modération :-)!

1. La compresse chaude.
Tout le monde a chez soit, dans son réfrigérateur un Cold/hot pack, non? Ah ben si ce n’est pas le cas, foncez vous en procurer un, voire deux! Les coldpack sont ces petits sacs remplis d’un gel bleu, qui dorment dans le congèl’ et qu’on ressort à chaque coup, entorse, bref chaque fois qu’il y a besoin d’appliquer du froid sur une partie du corps. Ils dorment au congèle’ car c’est plus rapide de les réchauffer que de le refroidir, tout simplement ;-). Pour le réchauffer, hop dans une casserole d’eau chaude (mais pas bouillante) quelques 5 minutes et hop sur l’oreille. C’est magique! (Attention à ne pas vous brûler en manipulant le coldpack, devenu hotpack! ;-)). Qu’il soit froid ou chaud, il faut toujours l’emballer dans son petit sac d’origine ou même parfois d’un linge supplémentaire. On le laisse autant de temps que nécessaire et on le réchauffe autant de fois que nécessaire.
2. Des compresses d’argile. Ah magique argile! Il faut vraiment en avoir chez soi et y penser! Quelles sont ses propriétés??? L’argile
Il y a donc trois sortes d’otites. L’interne, la moyenne et l’externe. Tout dépend de sa localisation dans l’oreille et donc des causes.
1.L’otite externe, aussi appelée otite du baigneur survient dans le conduit externe, généralement suite à la stagnation d’eau dans l’oreille. Il convient donc de bien sécher l’oreille et surtout d’apprendre à l’enfant à le faire. On met un doigt dans la serviette qu’on introduit dans l’oreille tout en penchant la tête sur le côté(côté par lequel l’eau pourra s’écouler. On attend de bien sentir l’eau coule… 🙂
2. L’otite moyenne. Elle fait généralement suite à un rhume. Même tout léger. C’est l’accumulation de “glaires” qui va créer une surpression derrière le (les) tympan(s). Aië! Aïe! Aïe! Pour l’éviter? Moucher l’enfant et lui apprendre à le faire seul et régulièrement. Et s’il ne le fait pas, bah on continuera à le faire, patiemment ;-).
3. Faire des rinçages avec du sérum physiologique.
4. L’otite interne. Alors j’avoue, je ne m’y connais pas 🙁 et 🙂 en même temps.Mais de manière générale, plus l’infection rentre dans le corps, plus on va se tourner vers un spécialiste… Donc là, go!!! Otite interne

Cependant, certains enfants semblent plus à même de développer des otites à répétition. Si c’est le cas de votre enfant, il serait bon d’en connaître la cause et d’agir en conséquence. Pour des problèmes de circulation de liquides dûs à des conduits auditifs particuliers, une visite chez l’ostéopathe peut être miraculeuse. Parfois des gestes simples comme sécher l’oreille ou moucher peuvent suffire… J’espère juste que vous trouverez le moyen de ne pas vivre trop régulièrement ces épisodes de grandes souffrances.
Et si vous avez envie de partager vos expériences d’épisodes otitiques, c’est tout simple! Alors à vos claviers! 🙂

le vêtement, son importance dans l’épanouissement de l’enfant

Personnages

Au delà de l’effet de mode, le vêtement a une importance primordiale. Il va recouvrir l’organe le plus important de notre corps: la peau. Ce vêtement a une structure, une matière et une couleur.
Pour la couleur, les parents d’enfants roux ont bien compris que pas n’importe quelle couleur ne leur ira et qu’il faudra en éviter certaines. Ce propos n’est de loin pas sectaire, au contraire, il montre toute la subtilité du choix du vêtement. Choix que l’on fait en général inconsciemment… certains parmi nous pourraient être considérés comme passe-partout… genre une peau mate, un joli visage et une belle morphologie, ceux-ci, même dans un sac à patate auraient de l’allure! Mais au-delà de l’allure extérieure, il convient de tenir compte du ressenti intérieur… Et alors là! Pffff… Soit c’est une révélation :-), soit c’est un parcours du combattant :-(. Mais courage, ça en vaut vitalement la peine!
Bon, je pars du principe que ce sont plus des parents qui me lisent que des enfants. Donc avec vos années de vie, que vous soyez homme ou femme, vous avez bien(ou commencez à définir) défini les habits qui vous conviennent. En général, on procède par ordre de ce qui ne nous va pas. Erreur ou pas? J’avoue que je ne sais pas. La forme du vêtement… encolure ronde ou en V… autre? Des fois on ne sait pas. Matières? Il y a les douces, les fluides… les agréables… Et pourtant, une fois portée on à l’impression qu’elles dégoulinent ou alors qu’elles nous étriquent. Alors oui, en magasin on touche vaguement le tissus, la couleur y est à peu près, la taille c’est bon et hop l’achat est fait. Cependant, impossible de le mettre! Qué? Quoi? Mais qué passa? Si c’est un achat pour notre enfant, il hurle, il crise et crie qu’il ne veut pas l’enfiler! Ce à quoi dans l’énervement nous pouvons lui répondre: “Mais bon sang! T’as vu son prix?!?” Heu… plus c’est cher, plus c’est confortable???… Malheureusement pas. Alors quoi???
Chaque corps est différemment fait:
– Structure: Osseuse, ronde, longiligne?
– Carnation: Blonde, brune, rousse? Plutôt grise ou plutôt dorée? Plutôt chaude ou plutôt froide? Ah AH la blague! ? Ses grands-parents ont compté les orteils! Et ouf! Le compte y était! Mais au-delà de ça, il y a sa nature profonde… Au-delà des mes goûts et de mes projets pour lui, il va falloir l’accompagner dans tout son être.
Soyons francs, au-delà du relooking, qui vise plutôt à cacher nos soit-disants défauts plutôt que d’exprimer notre vraie valeur, il y a: MOI (ou lui) et LE VÊTEMENT: Quelle matière, quelle forme, quelle couleur? ça, ça peut être tout un travail, surtout si nous nous sommes trop éloignés de nous-même… Mais la bonne nouvelle est que nos jeunes enfants n’ont pas tout ce passé d’à priori! Ils savent au moins, instinctivement, quelles matières et quelles formes, ils supportent sur leur peau. Un tissu dense et épais? Un tissus dense mais en même temps léger? un tissus fluide? Tout ce qui peut nous paraître un caprice d’enfant au moment où on l’habille est en fait indice ;-). Un tissus léger quelque soit la température extérieure? Un tissus épais alors qu’il fait 30°C à l’ombre? Autant d’indice qui vont vous aider à déterminer sa nature.
Sachant que les matières de tissus correspondent aux quatres éléments: air, terre, feu, eau, on pourra cataloguer les tissus ainsi:
– serrés et lourds: expriment la terre
– légers et aérés: expriment l’air
– fluides: expriment l’eau
– secs et grattants: expriment le feu
Voilà, CQFD, nous exprimons, à travers notre corps les 4 éléments naturels. Mais pas que… Au delà des couleurs des couleurs, nous exprimons aussi les quatre tonalités: Eté, automne, hiver, printemps? Mais pas que… pendant qu’on y est, pourquoi ne pas s’intéresser aux trois structures: losange, cercle, ligne. Ah ben oui, tout cela est fort complexe. Mais si, en tant que parents, nous arrivons au moins à respecter SON choix de textile, c’est tout un bien-être en plus que nous lui offrons! Viennent ensuite à un niveau ou à un autre les autres éléments… What? Heu…ben oui, évidemment;-) nous avons différents corps énergétiques…
Pour faire court, et revenir au titre du billet: le vêtement a une grande importance dans l’épanouissement de l enfant, un confort et une sécurité inégalable (et je mesure mes mots!)
Alors, jeunes parents, soyez à l’écoute du ressenti corporel de votre enfant (tout en vous mettant à la vraie écoute de vous-même).

D’où m’est venue cette idée, pour certains, saugrenue?
1. En feuillant un magazine d’outils pour enfants autistes dans lequel ils proposaient un gilet lesté…Pour augmenter la densité corporelle de l’enfant et lui permettre d’atterrir?
2. Par expérience, suite à de achats pour mes enfants qui ne correspondent absolument pas à ce qu’ils attendent d’un vêtement, au-delà de la mode.
3. Suite à mon propre chemin concernant le vêtement.
Un sujet nouveau pour une humanité en évolution et qui attend vos commentaires et le partage de vos expériences 🙂

Prévention noyade

Personnages

La belle saison vient à peine de commencer qu’il y a déjà plusieurs jeunes enfants qui ont perdu la vie accidentellement dans l’eau.
Le petit d’homme ne sait pas nager et sera complètement incapable de faire quoique se soit dans cet élément jusqu’à ce qu’il ait acquis certains apprentissages. En attendant que monsieur ou mademoiselle junior se décide à savoir nager, il faut surveiller à 110% son petit bout de chou. Surveiller ce n’est pas juste savoir qu’il est quelque part dans les parages et qu’il joue tranquillement, oulala! Non, non, non!
1.SURVEILLER, LORSQU’IL Y A DE L’EAU À PROXIMITE, C’EST AVOIR SON PETIT À PORTEE DE MAIN.
2.SURVEILLER, CE N’EST PAS NON PLUS PENSER QUE QUELQU’UN D’AUTRE LE SURVEILLE.
Je ne dis pas que quelqu’un d’autre ne peut pas le faire, mais il faut s’assurer qu’il y a effectivement une personne chargée de cette mission. Le risque est surtout présent lorsqu’il y a une fête par exemple: beaucoup d’adultes sont présents et le risque est de penser que l’autre surveille. Même si dans ce cas tout le monde a un peu un oeil sur chaque enfant, cette surveillance là ne suffit pas lorsqu’il y a un danger à proximité. (plan d’eau, route, falaise) Dans ce cas, il faut les deux yeux et la présence physique d’un adulte pour surveiller un jeune enfant.
L’eau (ou un danger) à proximité c’est quoi? une marre, une piscine, une pataugeoire, une bassine, une rivière, un ruisseau, un lac, la mer, l’océan…
La proximité c’est quoi? entre 0m et… 2 kilomètres. Ben oui ça gambade parfois très bien un jeune enfant!

Cours pour bébés nageurs? La plupart des cours pour bébés, apprennent aux petits à se mettre sur le dos. Flotter sur le dos n’étant pas naturel pour beaucoup, certains se débattront avec force pour se retrouver sur le ventre. Patiemment, il s’agira de conduire le petit à cette position de sécurité afin qu’il acquière ce réflexe.
Un conditionnement un peu à la Pavlov, mais qui, une fois acquis peut s’avérer salvateur. D’ailleurs c’est notre position de survie dans l’eau, malheureusement, faute de le savoir, peu de gens ont le réflexe de se mettre sur le dos lorsqu’ils ne sentent plus aptes à nager, d’où des noyades à tous âges…
Pour ma part, j’ai choisi une autre voie concernant les bébés nageurs. Parenthèse: mon fils aîné hurlait à chaque fois que j’essayais de le mettre sur le dos, la prof me disait de ne rien lâcher, de continuer encore et encore… Punaise le calvaire! J’adore l’eau, j’y suis en totale confiance, à l’époque, je ne pensais même pas aux risques de noyade! Juste le plaisir d’être dans l’eau, nager, sur et sous l’eau, jouer faire des expériences… Donc, j’ai changé de bassin*, changé de manière de découvrir l’élément eau. Savoir retrouvé seul ses appuis, se déplacer, découvrir la flottaison, être en confiance tout en connaissant ses limites, la voie de la découverte sans contrainte en toute sécurité. Mais je me rends compte que s’il était tombé à l’eau par accident, il n’aurait probablement pas eu le réflexe de survie: se mettre sur le dos. L’approche de l’eau que j’y ai faite était plutôt basée sur les joies et les risques de l’eau. J’ai donc vu mes enfants s’approcher prudemment de la piscine, se tenir à distance lorsqu’ils savaient que personne ne pouvait les sécuriser s’ils étaient dans l’eau… l’accident n’était probablement jamais loin, mais j’étais toujours prête et eux savaient qu’ils ne pouvaient pas encore aller dans l’eau seuls. Un de mes buts était atteint (surtout qu’il y avait une piscine non sécurisée chez leur grand-mère), mais comme je l’ai déjà dit un accident aurait pu arriver et je ne suis pas sûre qu’ils auraient eu le réflexe de se mettre sur le dos une fois tombés à l’eau. J’ai regretté le temps où je pouvais me poser sur une chaise longue au soleil et bouquiner tranquillement, mais j’étais là, présente, attentive. Cette période, dites vous bien, ne dure qu’un temps.

Comprenez bien, croyez-moi sur parole:UN ENFANT QUI SE NOIE NE FAIT PAS DE BRUIT! En effet, sachez-le et retenez-le, contrairement à nous qui pourrions éventuellement penser à appeler à l’aide en de telles circonstances, en enfant va juste chercher à prendre de l’air. IL MANQUE D’EXPERIENCE pour savoir que dans ce cas de figure il faut qu’il prenne son souffle ET EN MÊME TEMPS QU’IL APPELLE À L’AIDE. Il ne le peut de toute façon simplement pas! C’est trop de chose à faire en même temps! Son réflexe va donc être de chercher de l’air, en silence…. Juste survivre…pour vivre encore.

Oui, je sais, chaque année, à même époque, je parle des noyades. Désolée, mais si le printemps prochain je relis dans les journaux qu’un enfant ou un jeune ou un vieux s’est noyé…vous y aurez encore droit! À vous de faire en sorte que je puisse enfin arrêter d’écrire sur le sujet! Passez le mot! Informez les parents, les grands-parents: ça a l’air tellement évident pour certains que lorsqu’il arrive un accident mortel, tout le monde est surpris… Mais de cette surprise là, personne ne s’en remet!

Vous trouverez mes précédents billets sur le thème de la noyade en cliquant sur le lien suivant: NOYADE

*école de l’eau, Satigny, Genève

Allaiter l’enfant d’une autre

Personnages

Une femme qui allaite l’enfant d’une autre… C’est ce qu’a tout naturellement fait une femme. De son geste, elle en parle avec ces mots: “Mon geste a consisté à tendre la main à quelqu’un qui en avait besoin,…, en faisant ce que je pensais être le meilleur, voire le seul moyen d’aider cette mère et son enfant…”*

Dans les deux pages qui relatent son expérience, plusieurs points déjà abordés sur ce blog ressortent.
1. Le manque de lait. Allaiter ou pas est un choix personnel. Le choix d’une mère certes, mais aussi d’un père. Un choix complexe puisqu’il va toucher à notre intimité, notre éducation, notre culture, nos relations proches et lointaines. Rares sont les femmes qui ne peuvent, physiologiquement, pas allaiter. Plus nombreuses sont celles et ceux pour qui l’obstacle est psychologique. Par exemple, l’image de la vache laitière semble malheureusement encore bien ancrée et les seins ne sont vus que du point de vue sexuel.

2. Risque de transmission de maladies.
A la fin de l’article, une note stipule que le centre américain de contrôle des maladies indique que “le sida et autres maladies infectieuses graves peuvent se transmettre par le lait maternel. Cependant, le risque d’infection à partir du lait maternel, même si la femme est séropositive, est extrêmement faible. Pour les femmes qui ne sont pas porteuses du sida ni d’autres maladies infectieuses graves, les risques pour l’enfant qui reçoit le lait maternel sont minimes”.
Ici, on est dans un sujet plus délicat, on connait la propension des américains à se munir de tous les moyens possibles pour éviter un procès coûteux et, par rapport au sida, et autres maladies pouvant être transmises par le lait maternel, on ne discutera même pas ces avertissements. Par contre, souvenez-vous, il n’y a pas si longtemps, être nourrice était un métier! Certaines femmes des villes payait une femme des campagnes pour nourrir, AU SEIN, son enfant. C’est beau, ça non? Est-ce à dire que la nourrice n’avait jamais le rhume? Que jamais elle ne trempait ses lèvres dans un verre de vin? Non, elle vivait normalement et allaitait normalement! À lire l’histoire des nourrices, , on peut soit prendre peur, soit avoir un regard compatissant envers les difficultés d’allaitement. Que d’obstacles devons nous vaincre pour allaiter notre enfant! En effet, la nourrice devait être blonde ou brune mais surtout pas rousse. Plutarque recommandait de faire allaiter son enfant par quelqu’un d’autre afin que la mère ne vieillisse pas trop vite… Des idées presque vieilles comme le monde dont la mère d’aujourd’hui doit se défaire.

Donc voilà, à la lueur de l’histoire des femmes, de mon histoire de mère, je me dis qu’on a sacrément bien évolué. Bravo à chaque femme qui a réussi à faire un pas, quelque soit la grandeur et la direction de ce pas. Parfois nous faisons un pas en arrière pour mieux sauter et parfois pour nous protéger.

3. Le stress.
Au-delà de ces vieilles raisons, il y a des raisons beaucoup plus concrètes, beaucoup plus actuelles, une de ces raisons est le STRESS. En effet, l’adrénaline produite lors de situation de stress va mettre en veille l’ocytocine. De la même manière que lors de l’accouchement, si le stress est trop important (d’où production d’adrénaline) le travail sera ralenti voire stoppé, une baisse de lait pourra survenir en cas de stress. Et c’est exactement ce dont il est question dans l’article. Avec beaucoup de sagesse, elle rassure cette maman désemparée et l’encourage à faire preuve d’un peu d’indulgence envers elle-même car elle sait qu’une fois que la vie aura repris son cours et qu’elle sera entourée de sa famille, l’allaitement pourra se mettre en route.

Le stress et l’allaitement est quand même un histoire relativement récente…
“Au XIXème siècle, la croissance urbaine et le développement du travail de la femme va intensifier la mise en nourrice…”  La femme commencé a travailler en dehors de chez elle, à faire par exemple de longues heures dans la boutique de son mari afin de le seconder. on est au début de l’ère industrielle, un tournant pour l’humanité. Cinquante ans auparavant on mettait son enfant en nourrice par choix, à présent, on le met par obligation, face à ces gros changements, la femme doit s’adapter et elle le fait du mieux qu’elle peut. Alors si sur votre route vous rencontrez un bébé affamé, écoutez votre coeur 🙂

Pour lire d’autres billets sur le sujet, il suffit de suivre le lien ci-dessous:

allaitement & Co.


*Lire l’article dans son intégralité ici

Les joies de l’automne, les jeux d’automne

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Mais où sont donc passés ces magnifiques tas de feuilles dans lesquels il fait si bon sauter et se cacher (au désespoir des parents quand les enfants rentrent couverts de poussière de feuilles 🙂 )

Les feuilles mortes? Aussitôt vues, aussitôt soufflées, aussitôt dégagées! 😉 Heureusement quelques enfants rassemblent encore ces feuilles mortes “oubliées”, en font des gros tas avec leurs pieds et sautent à  coeur joie dedans! Heureusement encore, les feuilles tombent plus vite et plus souvent que passe le jardinier.

Dans un parterre de feuilles, on peut aussi dessiner un labyrinthe et faire toutes sortes de courses, de poursuites et de parties de loup.

On pourra ramasser des feuilles, les ramener à  la maison et faire un joli bricolage en attendant l’heure du dîner.

J’espère que ces quelques idées de jeux vous donneront envie d’aller jouer dehors, même si les températures commencent à  chuter.
Vous avez d’autres jeux? Partagez les nous! 🙂

Traverser la route en toute sécurité

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Je ne sais pas à  quel moment le comportement des piétons à  basculer mais l’exemple donner à  nos enfants est dangereux. Avec cette nouvelle interprétation de la priorité aux piétons, tous les usagers de la route se retrouvent dans une situation bien souvent imprévisible. Un piéton c’est fragile, quelque soit son âge.
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Rentrée scolaire et…alimentation.

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Voilà , c’est la période de la rentrée scolaire. En tant que parents, vous avez certainement pensé à  tout. Cartable, habits, activités extrascolaires, organisation… Tout quoi! Même la petite boîte pour les 10 heures et le goûter! Et…? Que contiendra cette boîte? Attention, on ne rigole plus avec les goûters!
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