“Le traumatisme crânien est la première cause de mortalité et de morbidité grave au cours des accidents liés aux sports d’hiver et son incidence est en augmentation. On considère que 30 % des patients avec traumatismes crâniens nécessitant une hospitalisation après un accident de ski souffriront d’un handicap résiduel à leur sortie.”
Blablabla, sauf quand ça nous arrive!
J’entends mes oreilles siffler… Est-ce vous qui dites “Quoi? Elle veut ENCORE nous parler du casque?” Parmis vous, il y a 2 catégories: ceux qui sont saôulés de la rangaine parce qu’ils ne sont pas convaincus et ceux qui le portent déjà , convaincus de son utile efficacité, et qui se disent: Ah oui, c’est bien qu’elle en reparle, trop peu de gens le porte.
Le port du casque, je l’ai mis en titre, je n’en parlerais donc plus.
Saviez-vous que quelques stations de ski proposent une application à télécharger sur son portable. Cette application permet de mesurer votre vitesse à ski. Cool! (L’application a été bloquée à 90km/h, pour ne pas tenter les andouilles et leurs tentatives de record.)
Bloquée à 90km/h pour la sécurité… Glurps. 90 km/h … A 90km/h, quand mon corps sans protection particulière, à part un casque, chute ou rentre dans un obstacle, ça fait quoi? Il devient quoi mon corps?
Plusieurs personnes ont été interrogées au bas des pistes:
-A quelle vitesse alliez-vous? Et cette retraitée de répondre: “oh pas très vite ( un peu genée parce que les vieux ça ne va pas très vite) 40km/h peut-être, pas plus.” Résultat du “tachygraphe”: 60km/h! Et la dame retrouvant le sourire : “Oups… ah oui quand même (fièrement cette fois).
Vous feriez-vous tirer à ski par une voiture allant à 90km/h ou même “que 60”? Sans protection?
J’ai dit que je ne parlerai pas du casque, je n’en parle pas. Vous connaissez les protections dorsales? 😉
En piste! 🙂